Manifeste de L’après-rupture

Publié le par JUSTICE PARITE PARENTALE Normandie

Redonner le droit de parole aux hommes en dénonçant la désinformation sur la violence conjugale 

 

 http://lapresrupture.qc.ca/Manifeste.html

 

Les fausses statistiques féministes sur la violence conjugale

 

En novembre 2008, au terme de près de cinq ans de laborieuses recherches, L’après-rupture a diffusé un dossier complet démontrant que le chiffre de 300 000 femmes victimes de violence conjugale à chaque année au Québec, publié en1985 par le ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec constituait une imposture statistique délibérée. En outre, ce dossier démontre que la proportion avancée en janvier 1980 par le Conseil consultatif canadien de la situation de la femme alléguant qu’à « chaque année, une Canadienne sur dix est battue, qu’elle soit mariée ou qu’elle vive en union de fait » constituait aussi une  invention planifiée longtemps à l’avance.

 

Pourtant ces deux chiffres frauduleux sont ceux qui ont été le plus souvent mentionnés au cours des 30 dernières années pour décrire l’ampleur de la violence conjugale au Québec. Ce dossier fait la preuve que, depuis 30 ans, les principaux organismes en matière de violence conjugale au Québec n’ont jamais cessé d’induire en erreur l’ensemble de la population. 

 

Également, en janvier 2009, grâce aux dispositions de la Loi sur l’accès à l’information, L’après-rupture a rendu publics les résultats de l’Enquête psychosociale du Saguenay–Lac-St-Jean, conduite en l’an 2000, montrant que, chez les personnes vivant avec un conjoint actuel, les hommes subissent annuellement de la violence conjugale en plus grande proportion que les femmes. Cette intervention de L’après-rupture a permis d’illustrer un autre aspect du contrôle de l’information auxquelles se livrent systématiquement les intervenantes féministes, c’est-à-dire la censure complète et l’interdit de publication de toute statistique ou toute information susceptible d’aller à l’encontre des stéréotypes sexistes que propagent les groupes féministes de pression. La censure féministe est


beaucoup plus intolérante que celle jadis pratiquée par le Vatican. Au Québec, rares sont les individus qui osent la défier. 

 

Ce dossier et cette intervention ne donnent qu’un bien faible aperçu de l’immense entreprise de manipulation de l’opinion publique qui a eu libre cours au Québec depuis plus de 30 ans. Au cours des dernières années, L’après-rupture a fait des dizaines et des dizaines d’interventions auprès des médias, incluant des quotidiens, des hebdomadaires locaux, des postes de radio ou de télévision pour dénoncer l’emploi systématique des fausses statistiques sur la violence envers les femmes, sur la violence conjugale et sur les agressions sexuelles. On peut retrouver plusieurs exemples de ces interventions sur le site de L’après-rupture dans les archives des lettres ouvertes (  http://www.lapresrupture.qc.ca/ArchivesLettresOuvertes.html  ) 

 

Cette désinformation sur la violence conjugale ou sur la violence subie par les femmes est véhiculée notamment par divers groupes féministes de pression comme des maisons d’hébergement pour femmes victimes de violence affiliées au Regroupement provincial des maisons d’hébergement ou de transition pour femmes victimes de violence conjugale (RPMHTFVVC) ou à la Fédération de ressources d’hébergement pour femmes violentées ou en difficulté du Québec, divers groupes ou centres associés au CALACS, à la Fédération des femmes du Québec ou à l’AFÉAS. Cette courte énumération des organismes se livrant à la désinformation sur la violence conjugale ou la violence envers les femmes est loin de constituer une liste exhaustive.

 

Enfin il importe de souligner que les budgets de fonctionnement de ces groupes de pression sont financés essentiellement à partir des taxes et des impôts versés par l’ensemble des contribuables québécois et qu’une part significative du financement reçu est consacrée à la désinformation. Bref, les fonds publics servent à soutenir une entreprise systématique de propagande et de manipulation de l’opinion publique dirigée contre les hommes.

 

Les maisons d’hébergement s’acharnent à employer l’imposture du chiffre de 300 000 femmes victimes de violence conjugale 

 

Un exemple frappant de l’extraordinaire acharnement avec lequel ces groupes tiennent à propager une vision frauduleuse de l’ampleur de la violence conjugale au Québec est la mention toute récente du chiffre de 300 000 femmes victimes de violence conjugale dans le numéro du 21 février 2009 de l’hebdomadaire L’Oeil régional.

 

Et ce, près de trois mois après la publication du dossier Le scandale des fausses statistiques du ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec sur la violence conjugale qui a été largement diffusé par L’après-rupture auprès des médias d’information.

En ligne : http://lapresrupture.qc.ca/recherche.html ,

 

Ce dossier fait la démonstration irréfutable du caractère délibérément frauduleux de ce chiffre de 300 000 femmes victimes de violence. Apparemment, la mise au jour de cette imposture n’est suffisante pour dissuader les maisons d’hébergement de continuer à employer le chiffre frauduleux au moyen duquel elles ont édifié une organisation qui soutire des dizaines de millions au gouvernement à chaque année. 

 

Dans cet article portant sur la maison d’hébergement La Clef sur la porte, on n’hésite pas à affirmer ce qui suit : 

 

« La violence conjugale est le crime le plus répandu. Environ 300 000 femmes chaque année en sont victimes et une cinquantaine en mourront ».

Source : L’œil régional, « Maison d’aide et d’hébergement La Clef sur la porte », samedi le 21 février 2009, p. 62.

 

Les deux chiffres mentionnés par la maison La Clef sur la porte dans cette phrase sont faux et mensongers. Le chiffre de 300 000 constitue une fraude statistique scandaleuse comme l’a démontré L’après-rupture dans le dossier publié le 25 novembre 2008. En outre, l’assertion à l’effet qu’une cinquantaine de femmes sont victimes chaque année d’homicide conjugal constitue également un mensonge flagrant. Comme c’est l’habitude chez les groupes féministes quand ils se livrent à la désinformation, aucune référence n’est donnée pour identifier la source de ces chiffres. Et c’est tout à fait logique, puisque ces chiffres sont faux et que ces sources sont inexistantes.

 

Il est facile de vérifier que l’affirmation  à propos du nombre annuel de femmes victimes d’homicide conjugal faite par la maison La Clef sur la porte constitue de la désinformation. Le rapport annuel produit à partir des données policières sur la violence conjugale et qui est publié par le ministère de

Publié dans Collectif Justice

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article